Loading Events

Mélanie Patris : « Sortir de la forêt »

Du 28 octobre au 13 novembre 2022
Eglise Saint-Remacle
Grand'Rue
Ocquier, 4560 Belgium
De 14H00 à 18H00
Gratuit
 

Installation photo et arts plastiques de Mélanie Patris

 

Église Saint-Remacle, Grand’Rue à 4560 Ocquier

Exposition ouverte du vendredi 28 octobre au dimanche 13 novembre
Les vendredis, samedis et dimanches de 14h00 à 18h00 - Entrée libre
Infos : manu@oyou.be


Née en 1977 à Tournai, Mélanie Patris vit et travaille à Bruxelles. Après avoir terminé l’académie de photographie dans la capitale, elle a continué à se former dans le domaine des pratiques argentiques, expérimentales et anciennes. Elle a affiné son approche en participant à plusieurs projets, résidences, ateliers sur le long terme et suivis individuels, en Belgique et à l’étranger. 

 

Elle élargit sans cesse son approche photographique en travaillant en collaboration avec d’autres artistes, tant
photographes qu’issus du monde de la scène. Son regard d’anthropologue et sa pratique d’art thérapeute en psychiatrie l’aident à enrichir sa préhension du monde et à épaissir ses recherches photographiques et visuelles. Elle voit dans son travail une approche ethnographique qui lui permet d’explorer et de questionner plus largement le sens des images. 


Son premier livre, « Eugénie », édité par les Éditions Arp2, est sorti en novembre 2020. Son travail est exposé en galeries et en festivals, en Belgique et à l’étranger, montré notamment à Bruxelles, Namur, Huy, Waterloo, La Louvière, ainsi qu’en France (Paris, Montpellier, Arles, Nantes, Rennes, Ascain), en Espagne (Barcelone), en Roumanie (Cluj), en Grande-Bretagne (Wolverhampton) et aux États-Unis (New-York, Denver Minneapolis).

 

Par ailleurs, la dimension expérimentale des travaux de Mélanie Patris va, ces derniers temps, chercher des échos sans cesse plus profonds et nombreux dans la féminité, la communion avec la nature, la mobilisation d’histoires personnelles enfouies ou d’énergies invisibles, indistinctes. C’est dans cette perspective qu’elle effectue une résidence en amont de la proposition « Sorcières », et qu’elle propose un atelier ouvert de deux jours, en immersion, et à mi-chemin à la fois de Marchin et d’Ocquier, mais aussi de la quête personnelle, du partage des émotions et de l’expérimentation de techniques photographiques inédites.

Une exposition OYOU pour « À la vie, à la mort ! »

Photo : Mélanie Patris